La responsabilité de leurs actes incombe aux autorités qui les contresignentLes actes prévus aux articles 45 et 46 sont accomplis personnellement par les coprinces, à l'exception de ceux mentionnés aux articles 46(1)(e) à (h) qui peuvent l'être par délégation expresse. photo:govern Le président de la France, co-prince d’Andorre, Emmanuel Macron, a tenu une cérémonie au Palais de l’Elysée afin de présenter des lettres de créance aux ambassadeurs des différents pays accrédités en Andorre.

C'est le 2 mars 1663 que l'évêque d'Urgel prit le premier [1] le titre princier (prince souverain des vallées d'Andorre).

Emmanuel Macron, « co-prince » d’Andorre en « pèlerinage » dans la principauté. L'article 45(1) de la Constitution dispose que « les Coprinces, avec le contreseing du chef du gouvernement ou, le cas échéant, du Syndic général, qui en assument la responsabilité politique : L'autorité était traditionnellement indivisible des deux coprinces : l'évêque d'Urgell et le En vertu de l'article 43(1) de la Constitution, les coprinces sont, conjointement et de manière indivise, le chef de l'État et en incarnent la plus haute représentation. Le président de la France, co-prince d’Andorre, Emmanuel Macron, a tenu une cérémonie au Palais de l’Elysée afin de présenter des lettres de créance aux ambassadeurs des différents pays accrédités en Andorre. The co-princes of Andorra or the co-monarchs of Andorra are jointly the head of state (cap d'estat) of the Principality of Andorra, a landlocked microstate lying in the Pyrenees between France and Spain.Founded in 1278 by means of a treaty between the bishop of Urgell and the French Count of Foix, this unique diarchical arrangement has persisted through medieval times …

Cette fonction est exercée, à titre personnel et exclusif, par l'Le coprince épiscopal et le coprince français sont égauxLors de leur prise de fonction respective, chacun d'eux jure ou promet d'exercer ses fonctions conformément à la présente ConstitutionL'article 44(1) de la Constitution dispose que « les Coprinces sont le symbole et les garants de la permanence et de la continuité de l'L'article 44(2) ajoute qu'ils sont « les arbitres et les modérateurs du fonctionnement des pouvoirs publics et des institutions. À l'initiative de l'un d'entre eux, du Syndic général ou du chef du gouvernement, ils sont régulièrement informés des affaires de l'État ». Les coprinces, sauf si la Constitution en dispose autrement, n'engagent pas leur responsabilité lorsqu'un acte est adopté. Dans ce cas, les actes, normes ou décisions concernés entrent en vigueur une fois écoulés lesdits délais, avec la signature de l'autre coprince et le contreseing du chef du gouvernement ou, le cas échéant, du Syndic général »Il en résulte que les coprinces, qui n'ont pas la nationalité andorrane (sauf à perdre leur propre nationalité), disposent à titre personnel et conjoint des pouvoirs donnés par les articles 46(1)(a) à (d) et, en absence de délégation expresse, des articles 46(1)(e) à (h). Ces pouvoirs sont donnés en apparente contradictionL'article 49 de la Constitution dispose que, en cas de vacance de l'un des coprinces, l'Dans le cadre du coprince français, cette disposition renvoie à l'article 7, alinéa 4 et 5 (décès, démission ou empêchement définitif) ainsi qu’à l’article 68 (concernant la destitution) de la Jules Six, avocat et docteur en droit, soulignera néanmoins en 1901 que « c'est comme aîné de la famille de Bourbon, et non comme chef d'État, que le Roi de France a exercé des droits souverains sur l'Andorre. Les droits auraient dû — logiquement — rester dans la famille de Bourbon, indépendamment du titre royal qu'elle a possédé et ensuite perdu »« la personne du Roi s'étant confondue avec le Gouvernement, avec la France, le titre de Co-prince d'Andorre est échu ensuite aux chefs des divers Gouvernements — royal, impérial ou républicain — qui se sont succédés (sic - la faute d'orthographe est d'origine) en France — la Révolution exceptée »Sa mère, Margueritte Bonifacie Gomma, était la sœur de Boniface Gomma-Montaud, le viguier nommé par Louis XVI : Parfois considéré comme partiellement ou entièrement en Asie, en fonction de la définition. L’archevêque et co-prince d’Andorre, Joan-Enric Vives i Sicilia, salue Emmanuel Macron lors de son arrivée à la Casa de la Vall, vendredi, à Andorre-la-Vieille. En 1620, le roi Louis XIII, seigneur souverain d'Andorre, unit la Couronne de Navarre et la part fuxéenne de la Couronne d'Andorre à la Couronne de France.