CONTRE : (...) chaque scène du film intrigue ou intéresse, mais leur juxtaposition peine à faire sens. (1 campus)

POUR : Le film est à l'image de son héros un peu sauvage : il ne se laisse pas enfermer dans des schémas prévisibles. Publiée le 8 mars 2013 Les relations entre les membres de la secte et les raisons à leur présence ne sont pas claires ni expliquées.



Félix Lefebvre, Benjamin Voisin, Philippine Velge Il est accompagné par l’excellente interprétation de Philip Seymour Hoffman, lui aussi totalement saisissant.

Tout autant de ressentis pour démontrer la complexité et la densité de l’œuvre Peter Weir's "Master and Commander: The Far Side of the World" is an exuberant sea adventure told with uncommon intelligence; we're reminded of well-crafted classics before the soulless age of computerized action. Lorene Scafaria’s Five Favorite Films Il n'est pas sans défauts. Yet Master Dodd, who tells readers in his cult book that man is not an animal and must do away with emotional impulses (and farting), sees more inspiration in Freddie than weakness. La mise en scène de Paul Thomas Anderson se faufile dans les méandres d'un scénario complexe, qui se nourrit de ramifications méandreuses entre les lieux, la chronologie et les personnages.

La complicité mystérieuse d'un gourou et d'un de ses disciples donne un film perclus d'ennui et de frustration. La mise en scène traduit ces relations puissantes et versatiles en longues scènes fluides, liquides, où les personnages semblent constamment se déverser les uns dans les autres. At each stage there are tensions that play out.



par Jean-Baptiste Thoret

Avec A t-elle vraiment marchée ?

Suivre son activité Tourné en 70mm, le film recrée visuellement une atmosphère années 1950, d'une élégance formelle éblouissante. En effet, car au delà de l'histoire et donc du scénario qui nous balade un bon moment sans but précis, c'est bien sûr l'état psychologique du perturbé et déboussolé Freddie qui va se soumettre, se dévouer au Maître non sans se rebeller pour autant, qui sera l'enjeu, la pierre angulaire de ce film... Cette étude de deux caractères, où la dépendance, l'admiration, le besoin d'être reconnu de l'un vers un autre le dominant et le manipulant, est tout simplement passionnante au point de ne pas voir le temps passer !
Lire ses 1 747 critiques par Aurélien Ferenczi Mais il nous montre aussi son talent dans sa construction dramatique. (1 campus)