Mais quand tel ou tel chorégraphe, tel ou tel professeur, est moqué, nous sommes totalement largués. D’entrée, l'on retrouve les gimmicks de 3e Étage : une scénographie sobre avec des lumières soignées, les costumes sombres et chemises blanches pour les danseurs, l’Est ce que l'on peut s'attendre a de nouvelles dates aux vues du succès de la 1ère representation et des bonnes critiques?Rien n'est annoncé pour le moment mais on peut penser que ce spectacle poursuivra sa route, se peaufinera, évoluera. 3ème étage fait beaucoup pour le rayonnement de l'Opéra, il rend la danse accessible, qu'elle soit drôle ou émouvante. Quand certaines habitudes du milieu, alimentaires notamment, sont tournées en dérision, nous parvenons à suivre. Enfin, j'imagine que ça ne va pas améliorer la situation globale de François Alu à l'Opéra. Quelle erreur ! C’est de cette connivence et de cette amitié qu’est né
riche et personnelle, ce qui est rare et impressionnant pour quelqu'un qui n'a même pas 24 ans)Un tel triomphe mérite en effet quelques dates supplémentaires, et, plus tard, un théâtre plus grand et surtout moins aléatoire en termes de visibilité. Quelle belle surprise que ce spectacle drôle mais excellemment exécute.
(particulièrement celui avec la chorégraphe) Un danseur peu être un bon interprète par sa danse : ça n'en fait pas un comédien capable d'interpréter un texte. Il faut être culotté pour se produire dans un théâtre privé parisien et parvenir à le remplir jusqu’au fond des galeries pour deux soirées, sur son seul nom, sans même mettre en exergue le label "Opéra de Paris". Ouvert sur l'extérieur, Bulles de Culture accueille les écrits de rédactrices et rédacteurs extérieurs.Les derniers articles par Bulles de Culture - Les rédacteur.rice.s invité.e.s L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail ! Le premier danseur du ballet de l'Opéra de Paris, François Alu, électrise les foules. Avec aussi un très beau pas de deux avec le retour son de la régie lumière. J'ai lu sur un forum que François Alu aurait préféré faire Play à Don Quichotte. En tournée, tout le monde peut comprendre et apprécier la critique très intelligente de l'univers de la danse, mais qui comprendra tout ce qu'Alu nous dit de lui-même et de l'ONP? Et une trace d'un épisode de la vie tumultueuse de l'Opéra dans ses grandes heures d'injustice, sujet qui ne préoccupe que les concernés et quelques passionnés (dont je suis, certes). Dommage pour nous, car de nombreux spectateurs “du milieu” ont semblé prendre leur pied !Le spectacle est bien écrit, parfaitement exécuté, et la technique, notamment la création lumière, n’a pas été négligée. L'occasion de voir les individualités s'exprimer, et quelles personnalités ! Saluons le travail minutieux et généreux de l'équipe qui a exploré tous les sièges ou presque pour offrir un système de billetterie très performant et honnête. C'est son choix me direz vous, mais quitte à bruler ses vaisseaux, et avec l'immense talent qui est le sien, autant le faire par et pour une vrai proposition artistique...Partagée en effet entre l'excellente soirée, le constat de tant de talent et de bon travail, et le sentiment d'avoir passé un moment "entre soi" où il était surtout question de poursuivre le bas de fer entre Alu et l'institution. Mais j'ai franchement été déçue/gênée. Il faudrait les utiliser à bon escient ...
Peu de danseur.se.s pourraient en faire autant.
La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail.Quand il entre en scène, la salle toute entière se délecte par anticipation. Quel dommage !se connaissent bien, ils dansent l’un et l’autre à l’Opéra de Paris où Samuel Murez est Quadrille et François Alu Premier Danseur. Que restera-t-il de ce spectacle dans quelques mois? Il conclut seul sur scène le spectacle avec Les Bourgeois de Ben Van Cauwenbergh sur la chanson de Jacques Brel.