Mais attention aux idées : il faut surtout que ces idées n’aillent pas à l’encontre de la vente des objets, et encore moins à l’encontre des processus narcissiques.En somme, on rencontre aujourd’hui une nouvelle catégorie d’individus qui ne s’approprie plus les idées pour construire une existence autonome, mais consomme des idées pour «C’est la dictature de l’image, totalement imposée, mais que d’aucuns qualifient d’ «Nous vivons dans un monde d’objets. Tous ces objets sont à vendre.Mais un monde où tout n’est plus qu’objet est un monde inhumain.L’être humain n’est pas un objet.
Lorsque l-agitation fut calmée, Barbicane reprit d-une vo ix plus grave son discours interrompu : « Vous savez, dit-il, quels progrès la balistique a faits depuis quelques années et à quel degré de perfection les armes à feu seraient parvenues, si la guerre eût continué. En serait-elle devenue le mouton noir ?« Pfff, il n’y a jamais de contrôle antidopage dans la voile ! L’homme interpellé vendredi soir à l’aéroport de Glasgow a été libéré ce samedi.La société « Comme J’aime », qui commercialise des régimes minceur, a été condamnée par le tribunal de grande instance de Paris pour avoir abusivement mis en avant l’existence d’une semaine gratuite dans son programme.Voici cinq choses à savoir sur la Pologne, pays à l’histoire millénaire, aujourd’hui septième puissance économique de l’Union européenne, qui renouvelle son parlement dimanche. Et de quel «point de vue» nous parle-t-on ?La plupart des informations audiovisuelles que l’on nous distille à chaque heure du jour et de la nuit émanent plus ou moins directement des principaux milieux décideurs: les pouvoirs économiques, politiques ou militaires.Pour le reste, un autre danger nous guette à chaque instant: c’est un journalisme de racolage jouant à fond la carte de la «proximité»; au détriment de toute tentative de réflexion nécessitant, précisément, une «prise de distance», un recul dans l’espace et dans le temps.La proximité des êtres dans les sentiments et les émotions, sans analyse, la météo comparable aux oracles (il s’agit de «Quelques pages d’écran forment tout au plus quelques éléments d’information ; mais ces «informations» ne constituent pas un savoir. [Ce message, d’abord rédigé sous la forme d’une «lettre ouverte», a été envoyé, avant que nous n’en publiions ici des extraits, à divers hommes politiques et responsables des médias. Et, dans la même foulée, à quand des «Pour ce qui me concerne, les modèles de référence seraient plutôt, par analogie, ceux de l’association sans but lucratif ou de la coopérative, et de leurs assemblées générales sous-tendant l’idée du contrôle effectif des décisions ainsi que le partage et la redistribution des ressources au bénéfice de tous les citoyens.Il faut mettre des mots sur les faits : Existe-t-il encore des espaces progressistes clairement identifiés dans les médias ?Ma réponse est oui. À plusieurs reprises, elle a appelé Emmanuel Macron à l’aide. Tout le monde sait - ou sent confusément - qu’aucune société n’est jamais unique ni définitive.Restaurer une volonté claire de diffuser l’éducation et la culture au travers des médias qui le peuvent encore, c’est rendre de la puissance à ceux qui veulent s’opposer à la concentration du pouvoir économique entre les mains de certains individus dont le cynisme et le machiavélisme placent les valeurs humaines au rang d’ «La maximalisation du profit, c’est asocial et inhumain.La maximalisation des projets culturels, c’est social et humain !Voilà l’enjeu de toute démocratie, qui ne peut tenir qu’à un projet culturel non démagogique.Voilà le prix des Libertés collectives et individuelles. Il est fatigué de ses hasards, de son impudeur, de ses fausses accointances.

La société se fait spectacle et se vend au plus offrant dans une mise en scène péripatéticienne des images et du sens. ]C’est une radio de liberté, une radio d’éducation, une radio critique dont la préoccupation permanente est de transmettre aux auditeurs les moyens essentiels de comprendre les mécanismes parfois subtils de l’oppression et de l’aliénation.C’est par conséquent une radio vitale que tout le monde n’aime pas.Ainsi va l’histoire de la radio dont je vous parle, chuintant entre les parasites du mensonge et le non-dit de l’effroi, distillant l’idée claire des vérités délivrées sous les pas du silence.Ainsi se libère la parole de la radio dont je vous parle, dans le vent rouge et frais des poèmes éclatants !Le grand risque d’aujourd’hui, pour la radio et les médias en général, c’est la mainmise considérable du pouvoir économique sur le contenu idéologique des programmes.Il s’agit d’un processus très subtil : on croit pouvoir parler de tout, mais on ne parle plus de rien, sinon superficiellement.Il faut séduire pour vendre des objets. « Ils ont oublié tout ce que Carlos a fait pour l’économie française et pour Renault. Pour les promouvoir, il faut prendre la parole et, par conséquent, il faut lutter pour que subsistent de véritables espaces de parole, notamment dans les médias !J’ai parfois envie d’introduire en ce domaine le terme de «populiculture».Cet arbre, pour moi, symbolise le peuple. Articles à la une. La preuve, en août dernier à Brest lors des deux championnats de France, espoir glisse et solitaire équipage, mais aussi à l’arrivée d’une étape du Tour de Bretagne en double en Figaro 3 en septembre, plusieurs voileux ont été contrôlés par l’agence française de lutte contre le dopage. Et d’ajouter : « Je m’exprime pour qu’on ne l’oublie pas. Il faut ré-instaurer d’urgence une lucidité de l’être face à la religion de l’argent. Page 1/1 Citations assourdissant. En vain.