Car un livre parle de certains chevaux que l'on a dressés et d'une certaine expérience, mais non du cheval que vous montez, vous. ""Quand vous voyez ou sentez un problème très visible sur votre cheval, ne dites pas "Oh mon Dieu ! ""Etre aimé par un cheval ou par un autre animal doit nous remplir d'humilité et de reconnaissance, car nous ne le méritons pas. Des cavaliers et des entraîneurs hautement qualifiés présentent des performances inimaginables dans le passé. ""Le cheval en main : La définition doit autant à La Guérnière qu'à Baucher : c'est un cheval qui livre moelleusement sa bouche et accompagne fidèlement la main dans tous ses déplacements. ""Contrairement à nous, qui ne pouvons nous déplacer qu'en nous déséquilibrant, le cheval à toujours deux manières de se porter dans une allure : par "perte" ou par "prise" d'équilibre. Et cette immobilité doit être suivie d'un reculer.Sachant qu'il doit automatiquement s'arrêter, le cheval prend l'habitude dès la réception de reporter du poids sur les hanches et d’engager ses postérieurs pour être maître de sa masse.L'automatisme de ce mouvement sera fort utile plus tard, lors du franchissement des combinaisons d'obstacle et pour tourner à l'issue d'une réception. ""Les chevaux ne comprennent par la punition.
""Je me glissai dans un massif où je demeurai accroupi, contemplant toujours ce défilé de mes meubles, car ils s'en allaient tous, l'un derrière l'autre, vite ou lentement, selon leur taille et leur poids. ""Si l'attitude du cavalier arrive parfois à masquer aux yeux des humains une piètre estime de soi, elle ne trompe pas le cheval qui évalue presque instantanément chacun à sa juste valeur.

Donc, regardez chaque foulée, chaque coin et chaque transition exécutée avec grâce et légèreté. Les autres, exception faite du cheval ami, ne doivent ni le gêner ni le contraire, même s'il entretient de bonnes relations avec eux. Textes dictés au cavalier, bien entendu. ""Le cheval en liberté voulant franchir une clôture au galop reporte du poids sur ses épaules durant les deux dernières foulées et par une forte frappe des antérieurs, élève son avant-main. ""L'affectif est au centre de la relation de l'adolescente avec le cheval. ""Bien entendu, on ne saurait prétendre créer un climat de confiance et de gaieté en empêchant le cheval de manifester sa joie. ""La non-intervention revient à poser le postulat qu'il vaut mieux laisser faire le cheval à l'abord de l'obstacle, qu'il saura mieux choisir lui-même l'emplacement de sa battue, engager instinctivement ses postérieurs en fonction de l'obstacle à franchir et sautera ainsi dans de meilleurs conditions que si le cavalier intervient, car il risque alors de provoquer des contractions musculaires.
Les femmes étaient donc réduites à faire de tranquilles promenades sur de douces montures et elles devaient, si elles désiraient participer aux parties de chasse, se limiter à suivre doucement et de loin. Les observateurs estimèrent que le match était donc presque nul.1842 allait s'endormir d'ennui quand, soudain, Monsieur Baucher soi-même fît savoir qu'il présenterait six semaines plus tard l'indomptable Géricault au Cirque des Champs-Élysées et témoignerait, en selle, de l'efficacité de sa méthode. Si vous le frappez, ou bien vous l'effrayez s'il est peureux, ou bien il tourne ça en jeu et tente de vous mordre avant de s'esquiver ! "Le premier impératif en vue de pratiquer l'équitation de qualité est donc pour le cavalier, un absolu contrôle de lui-même. C'est l'un des cadeaux qu'il nous fait : il nous montre l'importance de la concentration. Faute d'impulsion naturelle, le cavalier est dans la nécessité permanente d'entretenir, sinon de surexciter l'action. ""Chaque technique utilisée doit présenter les ingrédients suivants : la bonne attitude, le focus, le feel, le timing et l'équilibre. ""En tant qu'enseignant nous devons être les garants du respect inconditionnel des élèves et des chevaux en montrant l'exemple. ""Savez-vous comment les chevaux pensent ? Il ne faut pas vouloir lui demander quoi que ce soit avant de l'avoir compris. Il se laisse entraîner et ne travaille plus. […]Une battue longue est mauvaise, car le cheval a alors tendance à ne pas bien encadrer l'obstacle. Ceci acquis, nous passerons au deuxième stade, lui apprendre cette fois à reculer son centre de gravité durant les deux dernières foulées. Pensez-vous commettre un péché d'orgueil à dire de telles choses ? Maintenez vos mains dans cette position "réglementaire". ""Il ne faut jamais oublier la sensibilité des commissures des lèvres d'un cheval, sa répugnance pour tout choc, même léger sur elles. Il est difficile de s'enflammer à l'idée d'acheter une nouvelle selle.

""Pour le jeune cheval, il ne doit pas y avoir de séances de saut, mais des séances de dressage au cours desquelles, et seulement lorsqu'il est prêt, on se trouve devant un obstacle. On ne saurait tolérer une bouche sèche !Cela a été dit, répété par toutes les grandes voix équestres... Mais propos rarement suivis. ""La décontraction de la main : elle entretient la décontraction du cheval. La théorie de l'évolution dit que seul le plus fort survivra peut être bien, mais la théorie de la compétition dit que ce Le public équestre divisé en deux camps fut rejoint par des membres de la société mondaine, des lettres, des arts, de la politique. Pour cela dès la réception il rassemblait son cheval au point de lui faire faire des foulées de 0,50m. Peut-être est-ce vrai pour eux, parce qu'ils pensent être à ce niveau là. Il est, je crois, important de préciser que le cheval dans l'appuyer ne sera jamais incurvé mais droit et uniquement placé, c'est-à-dire le cavalier lui "voyant l’œil". Nous sommes en présence de ce que le colonel Podhajsky stigmatise comme le faux rassembler provoqué par la traction d'avant en arrière, l'équitation emboutie. Les rênes n'étant pas élastiques, l'élasticité doit venir des bras et des mains du cavalier. Cela ne semble pas être le cas.