Comme ses deux frères, il a commencé sa formation de VDC dans le quartier général des Monts Mainmorte vers ses cinq ans, la veille de l'incendie de son foyer qui prit la vie de ses parents : c'est donc un des orphelins entraînés par la société. Il possède des sourcils paraissant soudés l'un à l'autre et de petits yeux luisants.

L'ainée des orphelins Baudelaire, elle aime le bricolage, la mécanique. Aucun personnage ne verra jamais son visage, toujours masqué quelles que soient les circonstances... La mystérieuse femme à laquelle le narrateur dédicace tous les livres de la série. Cette contradiction le rapproche du caractère de Fernald. Personnage et antagoniste principal de la série, revenant à chaque tome.

Dans le tome X, on apprend qu'elle est la nièce d'un certain Bruce lui ayant promis le titre de « reine du Printemps des fous ». Sixième conseiller financier de la ville par ordre de chiffre d'affaires et quatrième fortune du pays, elle est mariée à Jérôme d'Eschemizerre mais reste "fiancée" au comte Olaf (à la troupe duquel elle n'a jamais vraiment cessé d'appartenir). L'incendie de la demeure Beaudraps intervient apparemment à la fin du tome 2 des Désastreuses Aventures et emporte la vie des parents des triplés, qui n'étaient autres que des VDC très influents. Tout comme son frère Franck, qui lui ressemble de façon totalement identique mais appartient à l'autre bord du schisme, son travail consiste à aider ses associés dans l'immense jungle chiffrée de l'hôtel, à faire échouer les plans des volontaires, et, accessoirement, à exécuter les plans d'Olaf. C'est grâce à lui que les orphelins Baudelaire découvrent les initiales Cartographe de génie, Petipa « Quigley » Beauxdraps est tenu pour mort par son frère et sa sœur à la suite de l'incendie dans lequel leurs parents ont péri. Au fur et à mesure qu'avance la série, ses implications dans l'intrigue apparaissent de plus en plus cruciales. Un œil est tatoué sur sa cheville gauche.

Narrateur de la série, qui étudie l'affaire Baudelaire. Comme pour son frère, le prénom de ce personnage est ironique : « Ernest » se prononce de la même façon qu'Earnest, qui signifie « candide », « sincère » ou « constant », alors que ce personnage passe justement son temps à dissimuler aux autres ce qu'il est réellement.

Au fur et à mesure qu'avance la série, ses implications dans l'intrigue apparaissent de plus en plus cruciales. Le pire est surtout la rémunération, enfin si on peut l'appeler ainsi : la paie se résume à des bons de réduction provenant de publicités diverses, alors que les ouvriers ne peuvent évidemment rien acheter puisqu'il s'agit de leur seul salaire. Il ne respecte rien et condamne les enfants à trimer dans son usine, ne tenant compte d'aucune de leurs suppliques. Monsieur le Directeur s'avère être un tuteur lamentable.

Il exploite son partenaire Charles, à qui il confie le soin de repasser ses chemises ou de lui préparer à manger, ne tolérant aucun de ses avis. Ce tyran hors pair l'est aussi envers ses ouvriers : ces derniers n'ont droit qu'à un chewing-gum il est bebete eh ouais comme repas de midi, pour toute une journée de dure labeur. Et il aime sa famille (tout comme ses deux sœurs) plus que tout !

Il a la particularité de toujours tousser dans son mouchoir.

Il appartient naturellement au "mauvais" côté du schisme qu'Olaf "dirige" officieusement.

Le machiavélique Olaf ne cesse de se déguiser du tome II au tome VIII et parvient grâce à ses costumes à tromper tout le monde sauf les enfants Baudelaire. Isadora est la poétesse de la famille. Une réorganisation et une clarification du contenu paraissent nécessaires. La demeure Beauxdraps est reliée via un passage secret souterrain au laboratoire du professeur Montgomery, ce qui sauvera Petipa (dit Quigley) de l'incendie. Sur le site agrégateur de critiques Individuellement, la première saison recueille 94 % de critiques positives, avec une note moyenne de 8,06/10 sur la base de 62 critiques collectées sur La deuxième saison recueille 93 % de critiques positives, avec une note moyenne de 7,81/10 sur la base de 15 critiques collectées.

À part le couple Polly/Arthur, les membres de la famille ont tous un prénom commençant aus… Il change également de nom, se faisant successivement appeler Stefano, capitaine Sham, Shirley, M. Gengis, Gunther, détective Dupin ou Mathathias.

Ce qui fait que le gérant de la scierie n'admet que cette appellation de la part de son entourage.

On ne sait pas si Ernest est bien mort dans l'incendie de l'hôtel, mais il ne réapparaît pas dans le tome 13. • Le comte Olaf est comédien dans une troupe de voyous. Le cadet, il aime les livres et le français. Monsieur tout court est un autre de ses pseudonymes autorisé, ce qui peut mener à quelques confusions. L'homme-à-tout-faire de Villeneuve-des-Corbeaux s'occupe des enfants pendant leur séjour dans cette bourgade et il essaie d'emmener les Baudelaire et les Beauxdraps dans sa maison volante. Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire [1] (A Series of Unfortunate Events en version originale) est une série littéraire pour la jeunesse écrite par Lemony Snicket, hétéronyme de l’écrivain américain Daniel Handler, et illustrés par Brett Helquist.La suite romanesque est composée de treize tomes, publiés entre 1999 et 2006. Elle est la JS qui apparaît dans les tomes XI et XII. Comme si cela ne suffisait pas à son anonymat, l'autre particularité de ce personnage est sa tête, constamment nimbée d'un nuage de fumée provenant de ses inséparables cigares. Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire, de Lemony Snicket Trois enfants qui ont tout pour être heureux perdent dans la même journée leurs parents et leur maison dans un terrible incendie. Synopsis des désastreuses aventures des orphelins Baudelaire : Violet, Klaus et Prunille, se retrouvent orphelins lorsque leurs parents décèdent dans un mystérieux incendie qui ravage leur demeure.

On peut donc légitimement se demander si Esmé ne partage pas un quelconque lien du sang avec les triplés, ce qui lui aurait fait obtenir la gérance des affaires...